Au Burkina Faso comme partout ailleurs dans le monde, la nouvelle tendance fort prisée des jeunes, C’est d’entreprendre. Ce constat, et cet état de fait s’accentue du fait de la rareté du marché de l’emploi mais aussi l’incapacité de l’état à pourvoir de l’emploi à l’ensemble de sa population.
Dès lors, tout les moyens sont alors mis en œuvre pour favoriser l’accès des jeunes aux formations.
Nombreux sont les domaines dans lesquels la jeunesse, mais aussi les particuliers ont décidé de se lancer. Ainsi, de la transformation agro alimentaire, à l’élevage et bien d’autres, chacun se forge une personnalité.
En effet il faut de prime à bord reconnaître que ce boom dans le domaine de l’entreprenariat, est grâce à l’implication de l’état dans ce processus. L’état voyant son incapacité à pourvoir de l’emploi pour l’ensemble des Burkinabè, adapte des solutions nouvelles en offrant des accompagnements à ceux qui désirent entreprendre dans des secteurs d’activités porteurs. C’est alors que de nombreuses sociétés de financement pour les petites et moyennes entreprises sont créés . Ces structures ont favorisées dans un premier temps, l’accès aux crédits bancaires par des particuliers et les jeunes pour monter des projets d’entrepreneuriat.
En plus de ces institutions financières, l’état à travers des services appropriés offre aussi des formations et des accompagnements à l’endroit des jeunes dans le domaine de l’entreprenariat.
De nos jours, l’entrepreunariat présente des avantages tant pour l’état mais aussi pour les particuliers. En effet l’on constate de plus en plus une croissance de l’offre d’emploi dans des domaines divers. Aussi la jeunesse se démarque fortement avec des idées novatrices dans les secteurs porteurs comme la transformation des produits alimentaires, l’agriculture et l’élevage.
Bien que présentant une facette reluisante en terme d’emploi, il n’en demeure pas moins des difficultés à noter. Ceci étant, les premières difficultés relevées par certains entrepreneurs ou jeunes entrepreneurs, C’est sans conteste le manque de soutien financier et les difficultés liées à l’obtention des l’octroi des fonds via les structures de financement.
La seconde difficulté aussi relevée s’articule pour certains domaines à la conquête du marché et la fidélisation des fidélisation des clients. Outre ces cas, il ressort de même une faible implication de l’état, et/ou la rigidité et la complexité des conditions dans le processus d’octroi des documents officiels.
De ces difficultés ainsi énumérées, il n’est donc pas rare de constater la recrudescence des métiers qui sont dans l informel.
Ceci étant qu’elles solutions adaptées conviendrait-il de mettre en place pour lieu encadrer l’entrepreunariat quand bien même les structures habilités existent déjà ? Il s’agit la d’une question qui nécessite une profonde réflexion.
NBK
Infowakat.net