Plus de 100 jours après le « génocide de Yirgou » personne n’a été arrêté, pourtant les auteurs sont connus, s’indigne le collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC). Pour ce qui concerne le récent drame d’Arbinda, Daouda Diallo, secrétaire générale du CISC fait étatt de « plus de 100 morts » contrairement aux chiffres annoncés par le gouvernement.
Pire, il dénonce une complicité entre certains FDS et les groupes d’autodéfense kogolwéogo et met en garde contre un projet d’alliance entre ces derniers et des groupes armés.
Ange L. Jordan MEDA
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