L’arbitrage vidéo fera son entrée dans la coupe d’Afrique des Nations (CAN) à partir des quarts de finale lors du match Sénégal-Bénin.
Nombreuses sont les équipes à se plaindre de l’arbitrage, souvent accusé de favoritisme, aussi bien dans les matchs de poule qu’en huitième de finale de la CAN 2019. Ces nombreuses plaintes ont eu gain de cause avec l’introduction de la « nouvelle machine » à partir des quarts de finale, et la première expérience sera le premier match des quarts de finale qui opposera le Bénin au Sénégal.
Si pour Michel Dussuyer du Bénin « la Var permet de corriger des injustices et représente une avancée pour le football », Aliou Cissé du Sénégal ne l’entend pas de cette oreille. Lors du dernier mondial en effet, un penalty lui avait été refusé pendant le match Sénégal-Colombie par l’arbitre Serbe à cause de la VAR.
N’empêche, il faudra faire avec.
D’après la Confédération africaine de football (Caf), des tests concernant l’arbitrage vidéo ont été réalisés en secret pendant quelques matches de la phase des groupes mais également ceux des huitièmes de finale.
La question primordiale est de savoir si la VAR contribuera réellement à bannir toutes les fautes d’arbitrage quand on est pas sans savoir que la machine a très souvent des imperfections qui la remet en cause.
Frédéric KAMBOU (Stagiaire)
Infowakat.net
