Le ministère de l’environnement, de l’économie verte et du changement climatique a organisé ce 9 février 2016 à Ouagadougou un atelier de validation du document portant projet d’adaptation aux changements climatiques des communes de Gorom-Gorom, Tin-Akoff, Boala, Boulsa, Dédougou et Ouarkoye dans le domaine agro-sylvo-pastoral.
Le Burkina Faso veut s’armer contre les changements climatiques. S’adapter surtout. Car ceux-ci sont devenus une réelle menace pour le monde. Ils n’épargnent aucun pays, surtout ceux jugés pauvres comme le Burkina Faso, qui n’ont pas assez de moyens pour y faire face. Dans cette optique, la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a mis en place les Plan nationaux d’adaptation (PNA) en vue d’aider les pays les moins avancés à une meilleure prise en compte des changements climatiques dans les politiques et stratégies de développement.
Pour ne pas être en reste, le ministère de l’environnement, de l’économie verte et du changement climatique a adopté son PNA en septembre 2015. Ce plan concerne le domaine agro-sylvo-pastoral et est mis en œuvre dans six communes : Gorom-Gorom, Tin-Akoff, Boala, Boulsa, Dédougou et Ouarkoye. Selon le Secrétaire général du ministère en charge des changements climatiques, Georges Lambert Ouédraogo, cet atelier qui réunit des experts de plusieurs domaines favorisera une synergie de connaissances, chose qui permettra d’avoir un bon document à soumettre au Fonds vert climat (FVC).
Avec les nombreuses possibilités qu’offre le Fonds vert, fait-il savoir, « le Burkina Faso entend se positionner parmi les premiers pays à adresser des projets au Fonds, par l’entremise du PNUD, ce qui lui permettra d’obtenir un financement conséquent. Si le fonds vert valide le document, nous verrons ce que nous pourrons faire concrètement sur le terrain d’ici à 2017. »
Pour rappel, le Fonds vert climat est un guichet créé au niveau international en vue de permettre aux pays les moins avancés de bénéficier des ressources financières que la communauté internationale collecte, afin de travailler à résoudre les problèmes environnementaux que rencontrent ces pays.
Pour ne pas être en reste, le ministère de l’environnement, de l’économie verte et du changement climatique a adopté son PNA en septembre 2015. Ce plan concerne le domaine agro-sylvo-pastoral et est mis en œuvre dans six communes : Gorom-Gorom, Tin-Akoff, Boala, Boulsa, Dédougou et Ouarkoye. Selon le Secrétaire général du ministère en charge des changements climatiques, Georges Lambert Ouédraogo, cet atelier qui réunit des experts de plusieurs domaines favorisera une synergie de connaissances, chose qui permettra d’avoir un bon document à soumettre au Fonds vert climat (FVC).
Avec les nombreuses possibilités qu’offre le Fonds vert, fait-il savoir, « le Burkina Faso entend se positionner parmi les premiers pays à adresser des projets au Fonds, par l’entremise du PNUD, ce qui lui permettra d’obtenir un financement conséquent. Si le fonds vert valide le document, nous verrons ce que nous pourrons faire concrètement sur le terrain d’ici à 2017. »
Pour rappel, le Fonds vert climat est un guichet créé au niveau international en vue de permettre aux pays les moins avancés de bénéficier des ressources financières que la communauté internationale collecte, afin de travailler à résoudre les problèmes environnementaux que rencontrent ces pays.
Nadège COMPAORÉ
Infofaso.net
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