Laure Zongo/ HIEN, ministre de la Femme et de la solidarité nationale et de la famille a procédé le vendredi 28 juillet 2017 au lancement d’une plateforme WEB dénommé « Compétences féminines ». Cette plateforme a pour objectif de valoriser le savoir faire des femmes dans tous les domaines.
A en croire Danem Souleymane, consultant en informatique, « Compétences féminines » est une « plateforme web pour les femmes burkinabè, pour promouvoir l’expertise des femmes du Faso, pour contribuer à une meilleure visibilité de la femme burkinabè. Femmes de tout niveau, femmes ayant des talents particuliers, femmes d’expériences ». Le site est composé de plusieurs rubriques tous en rapport avec le genre féminin tel que portrait de femme, les textes et lois sur genre. Afin de mieux promouvoir les compétences, les femmes sont invitées à s’inscrire sur la plateforme.
Pour madame Laure Zongo/ HIEN, « Compétences féminines » est la bienvenue car au regard du rôle combien important de la femme dans la société, il convient que ses compétence soit valorisées. « La Femme est la garante de l’harmonie familiale et de l’équilibre de la société. Elle est à l’avant-garde et contribue au développement de nos pays et cela dans tous les secteurs » a soutenu la première responsable du ministère de la Femme de la solidarité nationale et de la Famille. Mais pour atteindre les objectifs escomptés, il faut que les femmes s’approprient cette plateforme.
Pour ce faire, Laure Zongo/ HIEN exhorte ses camarades à faire vivre la plateforme. « Je saisi cette opportunité pour inviter mes sœur à s’inscrire sur la plateforme forme WEB. C’est une vitrine qui leur est offerte. Elle sera bientôt élargie aux compétences en genre en général et c’es nous qui la ferons vivre ».A cette cérémonie de lancement, « Compétences féminines », Fanta Kaya une responsable de compétences féminines de la côte d’ivoire a partagé les expériences de son pays dans ce domaine avec les participants.
A l’en croire, en Côte d’ivoire, Compétences féminines prend en compte « les cadres de hauts niveaux, les diplômés, les ivoiriennes de la diaspora et même celles qui sont analphabètes. ».
M’pempé Bernard HIEN
Infowakat.net
