Au Mali, la crise post-électorale tend vers un durcissement. En effet, l’opposant Soumaila Cissé, déclaré perdant à l’issue du second tour de la présidentielle, et qui a fermement rejeté les résultats donnant IBK vainqueur, a vu deux de ses proches collaborateurs arrêtés dans le cadre d’une affaire de tentative de déstabilisation visant à provoquer une insurrection populaire selon les autorités.
Des personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête et qui seraient présentées comme étant des « mercenaires burkinabé » auraient ainsi reconnu avoir été rétribuées pour provoquer des troubles à l’approche de l’investiture du Chef de l’Etat réélu, le 4 septembre prochain.
Pour sa part l’opposition a rejeté les accusations portées contre les proches de l’opposant CISSE et parle d’ « enlèvement ».
Jules Simon
infowakat.net
8 commentaires
De grace qu’on colle la paix au Burkinabé qui se battent pour le developement de leur pays
Le Burkina peine à gérer sa crise terroriste,ce n’est pas au Mali nous allons fourrer nos nez.Laisser nous en paix s’il vous plait
Tellement ridicule !
Que le mali cherche a résoudre ces problème et laissé. N
SVP. Laissez nous gérer nos problèmes internes. N’impliquée notre pays dans vos histoires de gestion du pays.
SVP. Laissez nous gérer nos problèmes internes. N’impliquée notre pays dans vos histoires de gestion du pays.
Un mercenaires n’agit pas pour le compte et au nom de son pays!c’est donc pas le Burkina qui est visé mais des sbires même s’ils sont supposés d’origine burkinabè!!!
Des mercenaires burkinabé ne sont pas des mandatés du Burkina