Le Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement ( CISAG) pense que le mal de l’éducation au Burkina est bien profond et il faut un forum national pour <<trouver le remède au dysfonctionnement>>.
<<Nos écoles sont devenues au fil du temps des repères de non droits, des lieux de consommation et de trafic de stupéfiants, des zones de violences physiques et de promotion de l’incivisme et de l’intolérance>>, a t-il dit.
Le CISAG a tenu une conférence de presse ce 12 avril 2021. Ils ont prévu dans les jours à venir, organiser une grande marche de soutien à la relance économique et d’encouragement de acteurs du domaine.
Nafisiatou Vebama
Infowakat.net