Le ministre des ressources animales a rencontré les partenaires techniques et financiers du Burkina à la DG COOP. Il était question lors de cette rencontre du 14 avril 2015, de faire le point sur l’évolution de l’épidémie de la grippe aviaire qui sévit depuis un certain temps notre pays et aussi d’autres pays de la sous-région (Nigeria), et de prévoir un plan de riposte contre cette crise aviaire.
Au total, à l’heure actuelle 5 provinces du Burkina Faso sont touchées par le virus H5N1 de l’influenza aviaire. Il s’agit du Boulkiemdé, du Houet, du Sanguié, du Kadiogo et de poni.
Ce virus hautement pathogène occasionne des pertes directes et indirectes pour notre pays. Ainsi les pertes directes liées à la mortalité sont estimé à plus de 230 million de F CFA. La volaille refoulée à la frontière de la Côte d’Ivoire est estimée à 60 million de nos francs.
Pour ce qui est des pertes indirectes, elles sont liées aux œufs de consommation, une perte estimée à plus de 2 milliards. Soit une perte totale de plus 3 milliards 50 millions.
Ce virus hautement pathogène occasionne des pertes directes et indirectes pour notre pays. Ainsi les pertes directes liées à la mortalité sont estimé à plus de 230 million de F CFA. La volaille refoulée à la frontière de la Côte d’Ivoire est estimée à 60 million de nos francs.
Pour ce qui est des pertes indirectes, elles sont liées aux œufs de consommation, une perte estimée à plus de 2 milliards. Soit une perte totale de plus 3 milliards 50 millions.
Pour pallier à cette épidémie, des mesures ont été prise par le gouvernement. Ce sont entre autre, la mise en place d’une cellule de crise dirigé par le MRA ; des missions d’information et de sensibilisation ; de recensement des foyers affectés ; des conférences de presse ; la destruction des cadavres par incinération, ainsi la désinfection des zones infectées et évidemment le vote d’un budget pour lutter contre cette épidémie.
Selon Monsieur le Ministre, les contraintes dans cette lutte restent nombreuses il s’agit du :
• Manque de ressources financières
• Manque de moyens logistiques
• Amenuisement des stocks de réactifs de laboratoire
• L’impact négatif sur l’économie du pays.
Face à ces contraintes, la FAO, la BANQUE MONDIALE, l’USAID ainsi que la coopération française ont proposé un soutien financier et logistique au pays pour la lutte de le virus H5N1.
Selon Monsieur le Ministre, les contraintes dans cette lutte restent nombreuses il s’agit du :
• Manque de ressources financières
• Manque de moyens logistiques
• Amenuisement des stocks de réactifs de laboratoire
• L’impact négatif sur l’économie du pays.
Face à ces contraintes, la FAO, la BANQUE MONDIALE, l’USAID ainsi que la coopération française ont proposé un soutien financier et logistique au pays pour la lutte de le virus H5N1.
CATHE ZOURE ET GUERE NARCISSE (Stagiaires)
infofaso.net