Dans la soirée du mercredi 15 Avril 2015, les membres de la sous-commission Vérité, Justice et Réconciliation de la commission de la réconciliation nationale et des reformes (CRNR) étaient à la demeure du Cardinale Philippe OUEDRAOGO pour recueillir des conseils.
La sous-commission Vérité, Justice et Réconciliation composé de 07 membres étaient les hôtes de son éminence. La délégation était conduite par sa présidente Madame Lucienne Ariane ZOMA, qui est aussi la vice-présidente de la commission de réconciliation nationale et des reformes de notre pays.
Ces échanges tenus à huit clos pendant environ 1h30 mn, avaient pour objectif de solliciter non seulement les conseils de son éminence sur la situation nationale actuelle, mais aussi des prières pour la bonne marche des activités de la commission.
Ces échanges tenus à huit clos pendant environ 1h30 mn, avaient pour objectif de solliciter non seulement les conseils de son éminence sur la situation nationale actuelle, mais aussi des prières pour la bonne marche des activités de la commission.
Au sorti de cette réunion la présidente Lucienne Ariane ZOMA face à la presse, s’est dite satisfaite, car son éminence n’a pas manquer de conseils à leur endroit et il a aussi prié pour la réussite de la mission qui leur a été confiée.
La présidente a invité tous les burkinabè à cultiver la tolérance et à prier pour la paix et la stabilité nationale. Pour la présidente : « le Burkina Faso est un pays en proie à lui-même. Il appartient donc à chaque burkinabè d’apporter sa part contributive, de donner son opinion participatif à travers le dialogue et cela dans la tolérance, dans la recherche de la vérité, avec le sentiment d’appartenir à la même nation ».
Pour Ariane Zoma, « le tissu social du Burkina est en fracture du fait des récents évènements ». Il est donc nécessaire de faire une halte pour réfléchir ensemble, se parler, et ainsi dégager des pistes pour que plus jamais nous n’ayons à revivre les évènements des 30 et 31 octobre 2014.
Pour Ariane Zoma, « le tissu social du Burkina est en fracture du fait des récents évènements ». Il est donc nécessaire de faire une halte pour réfléchir ensemble, se parler, et ainsi dégager des pistes pour que plus jamais nous n’ayons à revivre les évènements des 30 et 31 octobre 2014.
Cathé ZOURE (Stagiaire)
infofaso.net
