Maï Lingani vient d’être portée à la tête de l’Association burkinabè des femmes artistes musiciennes. Elle remplace Amety Méria qui y a fait 3 ans.
Créée en 2015 l’association burkinabè des femmes artistes musiciennes (ABFAM) avec pour objectif «d’assister, de conseiller, et soutenir les musiciennes dans leur lutte pour la sauvegarde et la valorisation des principes de leur profession».
A l’occasion de sa prise de fonction, la nouvelle présidente de l’association, Maï Lingani, a décliné les grands projets en vue, durant le mandat du bureau qu’elle dirige. Il s’agit entre autres de l’organisation des 72 heures de l’ABFAM, l’organisation de conférences-débats trimestrielles sur les thèmes liés à la vie de la femme musicienne et l’organisation d’une conférence des artistes musiciennes de l’espace UEMOA sur l’intégration et la paix.
A ce jour, 74 membres comptent l’ABFAM et son siège est basé à Ouagadougou.
En vue d’impliquer les artistes musiciennes des autres régions du Burkina Faso, il est prévu la création des cellules régionales de l’ABFAM.
La rédaction
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