C’est fini pour la 2e édition du Salon international du coton et du textile (SICOT) qui s’est tenue du 30 au 31 janvier 2020 à Koudougou. Durant 48h, ce sont 2350 participants qui ont pris part aux conférences, panels, rencontres B to B et aux expositions professionnelles. Pour le ministre du commerce, Harouna Kaboré, cette édition a permis de faire le point des défis, des enjeux et perspectives en matière de modernisation de l’artisanat africain.
La deuxième édition du SICOT est terminée. Elle a été l’occasion, selon le ministre du commerce, de présenter les opportunités de production et de transformation du coton bio en Afrique de l’Ouest.
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Plusieurs recommandations ont été émises par les participants. Il s’agit entre autres de l’accroissement de la production du coton biologique et d’accorder un prix préférentiel de l’énergie pour les industries du textile. <<Au vu des conclusions et recommandations auxquelles vous avez abouti et dont la pertinence augure des lendemains meilleures, je ne doute point que l’engagement de tous à faire de la filière coton un levier opérationnel pour l’industrialisation et la croissance économique des Etats Africains soit une réalité>>, affirme Harouna Kaboré.
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Il ajoute que ces 48h d’échanges et de réflexion, il retient la l’engagement et la volonté des acteurs à la valorisation du coton. Et ce, par le partage d’outils modernes de productions, de conservation, de la transformation, de promotion, de financement et de commercialisation.
La 3e édition du SICOT se tiendra du 27 au 28 janvier 2022 à Koudougou.
Nafisiatou Vebama
Infowakat.net