Le Socle citoyen pour la liberation (SOCL) dit prendre acte, ce 27 janvier à Ouagadougou, du coup d’Etat perpétré . Pour le parti, il faut privilégier une transition d’objectif et non une transition temporelle et mettre en avant des hommes de vertu et tenir compte du contexte géopolitique nationale.
«Cette transition doit déboucher sur un renouvellement qualitatif et positif de la classe politique, caractérisée par des acteurs qui monopolisent la scène et les ressources de notre pays depuis des décennies», affirme David Moyenga, président du SOCL.
Tout comme certains partis politiques et OSC, Ce parti pense que cette situation est l’échec de toute une classe politique qui s’est muée dans la compromission, les calculs opportunistes.
« Nous devons tenir compte du contexte géopolitique régional marqué par une forte aspiration des peuples à la libération et à une nouvelle souveraineté. Car, c’est le temps du peuples, temps de la libération», indique le président du SOCL, David Moyenga.
Pour le parti politique SOCL, la question pressante c’est la reconquête entière du territoire et la stabilité afin de rendre effectif l’unicité et la cohésion nationale. « C’est également l’occasion d’opérer des reformes décisives ; à savoir revoir les anomalies fonctionnelles de notre modèle d’Etat et d’institutions. De ce point de vue, il est important de rendre notre modèle électoral crédible adapté à notre réalité et qui permette de porter une équipe dirigeante légitime et sans tache à la tête de notre Etat», laisse entendre David Moyenga, président du SOCL.
NV
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