Les juges au siège s’intéresseront à cette récurrence de bras de fer entre la mairie de Ouagadougou et des organisations de la société civile voulant occuper l’espace au fin de manifestation citoyenne. Après Pascal Zaïda en 2017, et celle dispersée de l’Unité d’action populaire le 16 septembre dernier, c’est au tour de la marche anti impérialiste d’être refusée car jugée « inopportune » par la mairie.
Ils s’intéresseront également à un article de presse de nos confrères de » Le Pays » qui cite des sources crédibles selon lesquelles une pression est exercée sur le Burkina Faso au sein de la communauté internationale pour qu’il accepte une mission de maintien de paix sur son sol au regard de la situation sécuritaire.