Le vendredi 3 Aout 2018, le Premier ministre, Paul Kaba Thiéba, a reçu en audience le Groupement professionnel des industriels du Burkina Faso (GPI) en compagnie du ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat. Au cours de cette rencontre plusieurs points été évoquer notamment les difficultés qui minent le secteur de l’industrie.
Le Groupement professionnel des industriels du Burkina Faso (GPI) avec à sa tête Mamady SANOH, a eu l’avantage d’avoir une audience auprès du Premier ministre, Paul Kaba Thiéba. Cette rencontre fut l’occasion pour eux d’exposé les problèmes de la mévente des unités industrielles. Selon Mamady SANOH, la situation aujourd’hui est extrêmement difficile dans plusieurs unités industrielles notamment le sous-secteur de l’huilerie qui a près de 10 milliards de stocks invendus nous avons également le cas de la SN –SOSUCO qui a près de 15 mille tonnes de sucre invendus. Le groupement professionnel des industrielles du Burkina Faso sort satisfait de cette rencontre, car des mesures ont été pris et ceux-ci prendront effet à parti du mois de septembre. « Le ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat nous a rassuré en nous donnant rendez-vous le mercredi pour évoquer la question de l’huile ».
le président du DGI estime que, devenir un industriel au Burkina Faso n’est pas chose aisé, car l’on y rencontre beaucoup obstacles. En effet, Ces obstacles sont entre autres : les problèmes de distances, des facteurs de production et du climat social. Pour cela il encourage les différents commerçants et les opérateurs économiques à migrer vers l’industrie, car seul l’industrie peut contribuer au développement de notre pays.
Selon Harouna Kaboré ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat, la relation entre le gouvernement et le secteur privé est quelque chose de très importante et que son ministère travail chaque jour à ce que cela puisse permettre à continuer à développer des nouvelles unités industrielles, mais aussi qu’il ait une protection de ce qui existe déjà. A ce propos, depuis le 21 mai il a été mis en place des brigades mobiles de contrôle dans le but combattre des industries clandestines et des importations frauduleuses.
Pour finir, Harouna Kabore pense que « main dans la main qui mieux que les professionnel du secteur connaissent leur problèmes et qui mieux le gouvernement soit indiquer pour les réponses et les accompagné ».
Minata Zerbo et Ousmane Ouedraogo
Infowakat.net
1 commentaire
Bonjour et merci pour cet article.
Pouvez-vous svp m’aider à comprendre quelles mesures gouvernmnetalles ont été prises pour le sucre?