Le sous-ministre des Transports, Mme Joyce Bawa Mogtari, a rencontré la semaine dernière, des responsables burkinabè, suite à la décision du gouvernement d’appliquer une loi qui exige des chauffeurs étrangers et les gens d’affaires de produire un « bon de chargement » , avant de pouvoir être autorisés à faire des affaires au Burkina. »
Selon INTELLIVOIRE.NET, le Ghana et les autorités burkinabè ne sont pas parvenus à un accord sur les modalités concernant la documentation des marchandises en transit par le port du Ghana.
Plus de 70 chauffeurs de camions sont dans l’impasse au Burkina Faso depuis Mars 2016, suite à une demande burkinabè de payer une amende de 200,000 CFA par ceux qui ne possèdent pas de « bon de chargement ».
Le document requis par le gouvernement Burkinabè en 2015, aurait été suspendu lorsque le Ghana a soulevé des objections initiales. Cependant, il a été réintroduit en Janvier 2016 et les personnes sans document sont obligées de payer une amende de 200,000 CFA.